dimanche 5 septembre 2010

Jour de rentrée

Vacances en Pays de Duras

Les touristonautes

Les touristonautes

Ils ont décidé de passer leurs vacances d'été chez nous, dans le Sud Ouest. Pour préparer leur séjour, ils utilisent Internet; ce sont des « touristonautes ». Comment les sites officiels répondent-ils à leur besoin? Comment notre région est-elle valorisée?

Tout réserver en ligne
Le Comité Départemental du Tourisme de Lot-et-Garonne est l'opérateur numéro un dans le département. Depuis un peu plus d'un an, un site Internet moderne a été développé par cet organisme, à cette adresse : www.tourisme-lotetgaronne.com. Le visiteur qui se rendra sur cette page web reconnaitra immédiatemment la charte graphique du tourisme lot-et-garonnais, avec cette accroche « fabriqué chez nous ».
Le touristonaute cherche sur le web un hébergement pour son séjour estival. Mais il faut avant tout le séduire. Pour cela, des photos de qualité ornent la page d'accueil, et servent d'en-tête aux différentes rubriques (activités, patrimoine, gastronomie et terroir, etc.). Pour trouver son lieu de villégiature, l'internaute aura deux possibilités. La plus directe consistera à réserver intégralement son séjour en ligne. La fonction permettant cette démarche est très apparente sur la page d'accueil, dans un pavé sur la droite de l'écran, une zone dite « chaude » par les web-designers, car l'oeil y est naturellement attiré. Le système de résa en ligne permet d'interroger des centrales de réservation existantes : celle des Logis de France, pour les hôtels, des Gites de France, des campings ou la centrale départementale Actour 47 qui propose aussi des locations. Une petite explication de texte sur l'organisation départementale des systèmes de réservation serait sans doute bienvenue... Grâce à ce système, le touristonaute pourra directement payer sa location sans quitter le site.
La seconde possibilité sera de découvrir les hébergements, en allant sur la rubrique dédiée en haut à droite du menu. Un choix par type d'hébergement et par secteur géographique est permis. Une fonction cartographique permet également une situation des établissements sur un fond « google maps ».
Dans ce cas de figure, le touristonaute devra contacter directement le propriétaire de la maison de vacances de ses rêves.

Les maisons d'hôtes
Justement, rêvons un peu! Chaque année, naissent dans notre région de nouvelles chambres d'hôtes, et la visite des sites Internet dédiés permet de découvrir de véritables bijoux. Ainsi, en parcourant www.tourisme-lotetgaronne.com, nous avons repéré plusieurs hébergements sympas! A Auriac sur Dropt, en pays de Duras, c'est « Le séchoir » (http://lesechoir.free.fr/) qui a retenu notre attention. Cette chambre d'hôte a été aménagée dans un ancien séchoir entièrement rénové par les propriétaires. Les quatre chambres occupent cet espace agréable. Le site web est bien conçu, assez original.
A Anzex, près de Casteljaloux, « Le Gargantua » (www.legargantua.com) porte bien son nom : dans cette maison d'hôtes, sont proposés des séjours à thème : cuisine, chasse et vin! Les pages Internet du site sont extrêmement détaillées et illustrées de nombreuses photographies. Les stages de cuisine se déroulent dans une ambiance aussi professionnelle que conviviale. Les commentaires nombreux laissés par les clients témoignent d'une belle qualité d'accueil. A noter que le site dispose d'une traduction en anglais car la famille des propriétaires est franco-anglaise. Le Gargantua, c'est vraiment une adresse à suivre dans la région!

lundi 21 juin 2010

Danseurs et toile

Si vous n’avez pas assisté à un gala de danse cette année, vous pourrez vous rattraper en allant visiter les sites Internet des écoles de danse de la région. Et elles sont nombreuses, entre le tango, la salsa et le country, à faire danser petits et grands toute l’année !


Danses vitaminées

Voilà un site Internet qui est à l’image du nom de l’école de danse : vitaminé ! le site de l’association « vis ta mine », en trois (jeu de) mots compris se trouve à cette adresse : www.assovistamine.org. Et il a les couleurs de la vitamine C et le peps de la vitamine D. Sous une habile présentation en damier de couleurs, avec une image animée en son centre, la home page a la pêche ! C’est d’ailleurs par ce quadrillage orange et jaune que l’on accède au différents menus du site présentant à la fois les cours, qui se déroulent à Marmande,  l’agenda, les évènements, le press book, etc. Ici, on est dans la danse contemporaine et le modern jazz. Seul regret, concernant ce site : son manque d’actualisation. En effet, le gala de l’école se déroulait le week-end dernier, et on ne voit pas encore les photos en ce début de semaine. Mais cela sera sans doute vite réparé.

A La Réole, la salle de l’amicale laïque accueillait il y a quelques jours un gala de danse avec salsa et tango au menu. C’est l’école Exprimdanse (www.exprimdanse.com) qui officie avec deux champions de France à sa tête. Le site est tout à l’image de la danse, avec les couleurs chaudes de la salsa et la retenue du tango. Seul regret pour ce site : le manque d’images. Peu de photos en effet. Il faut aller dans la rubrique consacrée à la danse sportive pour pouvoir visionner une courte vidéo de cette discipline.


Cow Boys de chez nous

On ne soupçonne pas l’essor de la danse country dans nos contrées ! A Casteljaloux, c’est carrément un saloon qui accueille régulièrement les danseurs, au lac de Clarens. Un saloon que l’on retrouve sur le site de l’association locale : http://westerndancecasteljaloux.e-monsite.com. Là les photos sont à jour : deux jours aprés le repas annuel de l’association, on retrouve sur le site les photos des agapes, avec les costumes country de rigueur et les démonstrations de danse. Plein d’informations sur la vie de l’association, les cours de danse et les sorties sont disponibles sur le site. La bonne humeur qui s’en dégage est le témoin de l’ambiance de ce club casteljalousain !

En voisin, le Country Club de Marmande a un site Internet construit sur le même modèle : http://country-club-marmande.e-monsite.com. On y trouve là aussi toutes les photos et infos sur l’association locale, avec de plus un outil original mais qui semble indispensable : l’étiquette de danse. Ce document imprimable permet aux organisateurs de délimiter les différentes  zones de la piste de danse, afin de faciliter une danse conviviale !

Enfin, à Langon, c’est le Centre Eurodanse (www.centre-eurodanse.com) qui propose également de la danse venue d’Amérique, avec un stage de danse country prévu dès le mois de juillet. Mais les compétences de cette école sont multiples, comme le montre le site Internet : danse country, mais aussi danse jazz, africaine, de salon, etc. Les professeurs, nombreux, sont présentés dans une rubrique spécifique, et le planning comme les tarifs sont très clairs et lisibles.



lundi 14 juin 2010

Bandas y Alegria

 La fête de la musique battra son plein ce week-end, avec des musiciens de tous âges qui se produiront dans la rue. Notre région n’est pas en peine de groupes de musique et de bandas.


Trouver le programme ?

Un conseil : ce n’est pas sur le site officiel de la fête de la musique que vous trouverez beaucoup d’informations pour faire votre programme de concerts. En effet, si vous allez à l’adresse fournie par le ministère de la culture : www.fetedelamusique.culture.fr, outre le logo officiel de la manifestation, vous avez logiquement accès au programme des festivités. Sauf que pour notre région, les organisateurs n’ont pas vraiment communiqué leurs initiatives pour le 21 juin. Ainsi, il n’y aurait que sept concerts en Lot-et-Garonne, à en croire cette page officielle.

Donc, le meilleur moyen pour trouver le programme est de lire votre hebdomadaire favori, qui est très exhaustif sur cet évènement, ou bien de vous rendre sur les sites des mairies ou communautés de communes. Ainsi, la Mairie de Marmande (http://www.mairie-marmande.fr) consacre ses actualités à la présentation du programme.  C’est la même chose pour La Réole (www.lareole.fr) ou Miramont de Guyenne (www.ville-miramontdeguyenne.fr). A Langon, le détail des festivités est sur le site du Centre culturel des Carmes (www.lescarmes.fr). Heureusement, donc, les collectivités locales font leur effort d’information en l’absence d’un relais national bien organisé !


C’est le Pompon Bleu, les Têtes Brulées et l’Alegria!

Ils seront nombreux, les orchestres locaux, à se produire à l’occasion de la fête de la musique.

A Tonneins, par exemple, on trouve les Pompons Bleus, qui possèdent un site Internet toujours en cours de construction, mais qui arbore fièrement le dessin mascotte de cet ensemble musical : www.pomponsbleus.com/album.html.

A Marmande, il ne faut pas avoir peur pour parcourir le site de la banda locale « Les Têtes Brulées ». C’est à cette adresse : http://lestetesbrulees47.free.fr que cette formation issue d’un groupe de copains passionnés de musique et de fête qui décide de monter un groupe pour animer les soirées de leurs amis. La banda en question est devenue grande, mais la bonne humeur est restée la même. A un tel point que le site présente, à chaque page, une histoire drôle, du type de celles qui animent bien les apéritifs conviviaux !

Pas mal de photos, et quelques vidéos d’anthologie illustrent également la vie de cette dynamique formation marmandaise.

A Casteljaloux, c’est la banda Alegria qui propose un site totalement dévolu à la musique dans cette commune. Sur www.alegriabanda.fr, on trouve différentes actualités : celle de la banda, mais aussi la présentation du Big Band de Casteljaloux, et de l’harmonie municipale. La banda Casteljalousaine vient de signer sa première participation au festival international de bandas de Condom où elle a remporté un disque d’or. Pour fêter dignement cela, un « concert sous les platanes » est organisé sur place le 26 juin. Tous les détails de ces festivités se trouvent sur le site, qui en plus met dans l’ambiance : en effet, dès la page d’accueil, un refrain de banda accompagne le visiteur.



dimanche 30 mai 2010

Du coté d’Auros

Riverain de la Garonne et du canal, trait d’union entre l’Entre-deux-mers et le Bazadais, le canton d’Auros possède une réelle identité, que l’on retrouve sur Internet, à travers les sites institutionnels et privés.


Tourisme et communauté de communes

Le Pays d’Auros a son site Internet touristique qui a été développé par le syndicat d’initiative cantonal : http://pays-auros-tourisme.com. A une époque où les internautes sont soucieux d’obtenir une information officielle lors de leurs vacances, ils seront ravis en se rendant sur le site du syndicat d’initiative du canton : « site officiel touristique ». D’utilisation très simple, il  a pour objectif de faire découvrir les richesses locales et d’encourager le visiteur à se rendre chez un prestataire local. La page d’accueil présente le territoire, avec une carte, ce qui est une démarche essentielle. Les rubriques sont aussi explicites : où manger, où dormir, quoi faire ? Pour ce dernier chapitre, en cliquant sur la page, on se rend compte que ce petit territoire ne manque pas d’atouts patrimoniaux et touristiques. Chaque site est agrémenté d’une explication et le cas échéant d’un lien vers son site Internet. Cela rend la visite du site aisée, avec une logique dans la navigation.

On regrettera cependant que l’agenda des fêtes et manifestations ne soit pas mieux renseigné. C’est sans doute en prévision…

Second site officiel du canton, celui de la communauté de communes, qui regroupe les 14 communes du canton. Accessible à cette adresse http://cc-auros.fr, il est évidemment plus directement destiné aux administrés, car il contient de nombreuses informations extrêmement utiles. Tout d’abord une fiche a été établie pour chaque commune, avec les coordonnées de la mairie.

Les services de la communauté de communes sont ensuite présentés de façon claire, que ce soit l’enfance jeunesse, le développement économique, ou la vie associative. Mais là aussi, l’agenda des manifestations reste un peu vide…


Les sœurs branchées de l’abbaye du Rivet

Quelques sites Internet du canton d’Auros ont retenu notre attention. C’est notamment le cas de celui de l’abbaye du Rivet, où vit une dynamique communauté religieuse. Les sœurs développent leurs activités spirituelles et économiques via le web, avec un site tout à fait au point : http://abbayesaintemariedurivet.com.

On y trouve deux parties : la première présente l’abbaye, son histoire, la vie monastique, et la communauté. Mais spiritualité peut rythmer avec technologie, puisque le site propose la visite virtuelle de l’abbaye et l’envoi de cartes postales électroniques !

La seconde partie du site, c’est le magasin en ligne : en effet, au Rivet on trouve des produits agricoles, comme des poulets fermiers, des oies, des poules, des gâteaux,  qui sont produits localement. Mais le site propose aussi de nombreux produits qui proviennent d’autres abbayes ou monastères. Et on peut même commander un CD enregistré par les sœurs de l’abbaye ! Dynamique, on vous dit…

Enfin, nous avons relevé sur le canton le très joli site du restaurant l’Absolu, à Auros : http://restaurant-absolu.com. Une très belle photo sur la page d’accueil invite à la visite. Les pages intérieures décrivent en détail le restaurant et de petites attentions comme « le coin des pitchouns » donne très vite envie de fréquenter ABSOLUment l’Absolu.



lundi 24 mai 2010

Le web pour créer son entreprise

Comment se faciliter la vie avec Internet ? Les créateurs d’entreprise trouvent sur le web des outils simples et rapides, comme ceux mis en place par les chambres de commerce et d’industrie. Une évolution positive dans un monde complexe.


Le chemin compliqué du créateur.

Créer sa propre activité économique est parfois un choix et aujourd’hui souvent une nécessité. Au-delà du discours actuel qui promeut la simplicité de la création, nous avons voulu vérifier si les outils disponibles permettaient réellement de bénéficier de toutes les informations pour se lancer dans l’aventure de l’entreprise individuelle.

Première étape logique : se tourner vers la CCI, la chambre de commerce et d’industrie. Pour les Lot-et-Garonnais, l’accès se fera ici : http://www.lot-et-garonne.cci.fr. Le site est très attractif. Plusieurs vidéos en page d’accueil appellent l’internaute à en savoir plus. Sur la colonne de gauche, les boutons de menu sont très visibles. Parmi ceux-ci, nous avons cliqué sur « Créa-Tic » (http://www.crea-tic.com) qui est un site de la chambre agenaise totalement dédié à la création d’entreprise :  A partir d'une " base de donnée évolutive », CREA-TIC permet d'accompagner et de suivre les porteurs de projet en déroulant le processus pas à pas. En effet différentes rubriques vont accompagner le créateur. A noter encore une fois l’utilisation intelligente de la vidéo, qui permet d’entendre le témoignage de créateurs lot-et-garonnais qui ont déjà franchi les étapes.

Les autres rubriques permettent de s’inscrire afin de bénéficier de conseils ou de pouvoir suivre la formation de cinq jours.

Un système qui évite un déplacement obligatoire à la préfecture du département, ce qui était le lot de chacun auparavant.


L’auto-entrepreneur

Pour nos lecteurs girondins, la CCI compétente sera celle de Bordeaux, à cette adresse : http://www.bordeaux.cci.fr. D’emblée le design du site est plus austère, moins chaleureux qu’en Lot-et-Garonne. Il faut donc un peu plus defforts pour chercher l’information. Mais une fois que vous aurez accédé au menu « création », dans la colonne de gauche, vous obtiendrez là aussi de nombreuses informations.

Une autre possibilité est de renseigner votre profil, grâce à un menu déroulant, qui propose plusieurs choix, dont celui de créateur. Immédiatement un espace dédié s’affiche. Des animations sont disponibles dans le sous-menu « parcours du créateur ». Nous avons notamment retenu celle qui concerne le statut d’auto-entrepreneur. Il s’agit d’une présentation très visuelle, accompagnée d’un commentaire audio. Ainsi, en une quinzaine de minutes, n’importe quel internaute aura fait de façon tout à fait satisfaisante le tour de la question.

Pour aller plus loin dans la démarche, une rubrique permet de télécharger ou de demander des guides pratiques : le guide du créateur, le guide de la micro-entreprise, le guide de l’étude de marché, etc. Seul bémol, la majorité de ces guides sont payants.

Enfin, le site permet de télécharger le dossier de création d’entreprise mais il faudra le remplir à la main…


 

 

 

 


dimanche 2 mai 2010

Faites la Foire

Dès samedi, la Foire de Bordeaux ouvre ses portes. Cet évènement commercial et économique de premier plan existe depuis 89 ans ! La vieille dame est tout à fait moderne lorsqu’on parle communication, avec plusieurs sites web dédiés.


Les beaux avions

Du 8 au 17 Mai, la 89ème édition de la Foire Internationale de Bordeaux  rassemblera 2 300 exposants qui ne manqueront ce rendez-vous commercial majeur du grand Sud-Ouest. Les visiteurs trouveront sur 80 000 m² de quoi s’occuper ! Pour bénéficier de tous les renseignements nécessaires à la préparation de sa journée au Parc des Expositions, la foire internationale possède un site Internet tout à fait complet à cette adresse : www.foiredebordeaux.com

Un site extrêmement visuel : 4 onglets verts de menu sont consacrés aux visiteurs. Avec des titres aussi explicites que « préparer sa venue », « les temps forts », « découvrir la foire », ou « les quatre pôles ». Les deux autres onglets de menu sont noirs et destinés aux exposants et à la presse. Ainsi, le visiteur pourra facilement anticiper sa venue, commander des entrées à tarif réduit, etc.

Sur la première page du site de la Foire de Bordeaux, un petit logo « Facebook » attire l’œil : en cliquant sur le « pouce » bien connu du réseau social, on devient fan de la page Facebook de la Foire. Une manière de populariser l’évènement aurpés des amis de ses amis…


Les temps forts de la Foire

Le site permet aussi de présenter les temps forts de la Foire, qui bénéficient aussi de sites Internet dédiés

C’est le cas du salon de l’environnement et du développement durable qui fête ses 10 ans. (www.salon-environnement-et-developpement-durable.com). Pour cet anniversaire, le salon donne la parole a dix grands témoins, pour dix ans d’existence. Le premier est Bernard Lafon, le propriétaire de la Ferme des Légumes Oubliés, acteur majeur de l’agritourisme en Entre-deux-Mers (www.ohlegumesoublies.com).

Le salon de l’agriculture d’Aquitaine, moment privilégié de rencontres avec toutes les richesses du terroir possède aussi son site dédié : http://www.salon-agriculture.fr/. Car le salon de l’agriculture est une institution dans l’institution. Les nombreux producteurs qui s’y retrouvent pour promouvoir leurs produits à savourer, ou les éleveurs en savent quelque chose. Notre région sera largement représentée cette année. Ainsi, le marché des producteurs sera animé par des exploitations agricoles girondines et lot-et-garonnaises, comme « l’atelier du miel » à Saint Sève (www.atelier-du-miel.fr), ou la « Maison du Pruneau » (www.maisondupruneau.com) de Lafitte sur Lot, pour n’en citer que deux.

Un autre évènement est à vivre sur Internet et sur la foire. A l’occasion du centenaire de l’aéroport de Bordeaux-Mérignac, le salon « la conquête du ciel » dévoilera une exposition unique de machines volantes d’hier et d’aujourd’hui. Sur le site (www.laconqueteduciel.com) vous pourrez notamment visionner une vidéo retraçant le convoi des avions exposés sur la rocade de Bordeaux.

Enfin le dernier rendez-vous 2010 est international : « Voyage en Russie » célèbre l’invité de l’année. Retrouvez un blog de lycéens sur ce thème : www.voyage-en-russie.com.



mardi 27 avril 2010

Devoir de mémoire

Et si Internet était le meilleur allié de la mémoire locale ? De plus en plus d’archives, photos, voire films de notre patrimoine régional sont téléversés sur différents sites web. Outre l’avantage de la conservation, ils permettent l’ouverture au plus grand nombre.


Jean Charrié, photographe

Le château de Lauzun était dans sa famille depuis plus d’un siècle lorsqu’il fut vendu en 1920 avec ses cinq métairies. Jean Charrié, photographe amateur, a réalisé à ce moment là des clichés de tout ce patrimoine, dans le château aux imposantes cheminées, sans oublier les travaux des champs ou les métairies. Ces 40 photos d’époque, qui étaient restés dans la famille Charrié sont aujourd’hui disponibles sur Internet, pour tout le monde. C’est un descendant de ce témoin visuel, Jean Paul Charrié qui a publié sur Flickr (www.flickr.com/charriejeanpaul) huit albums photos datant de la première moitié du 20ème siècle. Outre le château de Lauzun on peut ainsi découvrir des scènes de vie à Marmande, avec douze photos datées de 1919 à 1938. Un autre album est consacré à la rupture du pont suspendu sur la Garonne, intervenu en 1930. Un événement exceptionnel qui a incité Jean Charrié a réaliser un véritable reportage photographique montrant l’accident puis la démolition et la construction d’un nouveau pont en 1932.

La plateforme de partage de photos sur laquelle a été publiée ces photos est un site de Yahoo, qui est totalement gratuit, et surtout ouvert sur le monde entier. A l’aide d’un mot clé, il sera simple pour n’importe quel internaute de trouver ces photos anciennes, précieuses pour tous les amoureux d’histoire locale.


Cartes postales anciennes

Les autres témoins visuels de notre proche passé sont les cartes postales. Il était de tradition pour les photographes de courir tous les villages de la contrée et d’éditer les photos en carte postale. Ainsi, les archives départementales de Lot-et-Garonne disposent d’un nombre impressionnant de reproductions qui sont accessibles en ligne. Pour y arriver facilement, rendez-vous sur le site du Conseil Général (www.cg47.fr). Dans la colonne de droite, le menu « nos autres sites » vous permettra d’accéder en bas de liste à « Le Lot-et-Garonne en cartes postales ».

Sur ce site, qui date déjà de quelques années mais reste efficace, une recherche par commune, ou par canton est facile. On sait ainsi quelle carte postale est visible. Un bouton permet l’agrandissement sur l’écran.

Par contre, il n’est pas possible d’en commander des tirages. Mais pour ce commerce, les collectionneurs de tout poil n’ont pas hésité longtemps ! De nombreux sites spécialisés permettent de retrouver votre bonheur. Citons par exemple www.notrefamille.com. Dans le nuage de tags, sur la colonne de droite, cliquez sur « cartes postales ». Cela permet de rechercher une commune, et de commander des tirages de cartes postales anciennes. Notre région y est très bien représentée.

En Gironde, c’est une association, qui s’appelle « in video veritas », qui a imaginé de construire un site Internet collaboratif : www.invideoveritas.com. Le fonds documentaire rassemble ainsi cartes postales anciennes mais aussi photos anciennes et actuelles d’un certain nombre de communes riveraines de la Garonne. C’est surtout sur Saint Pierre d’Aurillac que les publications ont été nombreuses. Un bon moyen de commencer à archiver le présent pour les générations futures…



lundi 19 avril 2010

Les étoiles sur la toile

Il n’y a plus vraiment besoin d’avoir à la poche le guide rouge Michelin pour choisir son restaurant du dimanche. Aujourd’hui toutes les informations sont sur Internet et même sur votre téléphone portable.


 Comptez les fourchettes

Le site Internet de Michelin est une mine d’information pour le promeneur du dimanche ! Allez sur cette adresse : www.viamichelin.fr. Outre la préparation d’itinéraires, ou la recherche d’un hébergement, le site comporte une rubrique « restaurants ». Il suffit à l’internaute de taper un code postal, ou le nom d’une ville, pour voir apparaître en mode carte et en mode liste l’ensemble des établissements du secteur sélectionnés.

Pour cela, le site Viamichelin.fr utilise son système incomparable et traditionnel de classement : par étoiles (une, par exemple chez Claude Darroze à Langon), par « bib gourmand (meilleures tables à petits prix) ou par fourchettes (restaurants de charme). Pour chacun de ces établissements ainsi présentés sur le site de l’éditeur, une fiche détaillée est présentée. Une fonctionnalité supplémentaire ne doit pas être ignorée : chaque établissement peut être « exporté » vers son GPS de voiture, si l’on branche son « tomtom » ou son « garmin » à l’ordinateur. Ainsi, il n’y a plus qu’à suivre son compagnon électronique de bord pour se rendre au restaurant dominical (et surtout pour en revenir…).

L’autre possibilité d’usage des guides Michelin passe par l’Iphone, ce bijou de technologie aux innombrables applications. En effet, le guide rouge Michelin est disponible en téléchargement (payant) sur l’appstore, qui est la boutique des téléphones Apple.

 

 Pour le plaisir du palais

 Parmi l’impressionnante liste de restaurants que m’affiche le guide Viamichelin si je me positionne à La Réole, j’en ai retenu trois qui disposent d’un agréable site Internet. Prenez « l’abricotier » à Saint-Macaire (www.restaurant-labricotier.com). Un soin particulier a été porté au site de cet établissement classé 1 bib gourmand et deux fourchettes. Les photos sont soignées, élégantes et remplissent une fonction essentielle pour un site web : elles séduisent l’internaute. Il suffit en effet de vous rendre dans le menu « La Carte » du restaurant l’abricotier. Les photos des plats, en vis-à-vis des menus, suffisent à vous décider à prendre votre téléphone pour réserver. Par contre, le site ne met pas en avant la personnalité ou le talent du chef cuisinier.

A Sauternes, le Saprien affiche ses deux fourchettes et son bib gourmand. Le site de l’établissement est à cette adresse : http://saprien.free.fr. Là aussi, on trouve de nombreuses photos d’illustration ; mais la qualité des vues ne sont pas à la hauteur des attentes. Les menus, par exemple, mériteraient d’être illustrés.

Enfin, à Bazas, le restaurant « Les Remparts » bénéficie de deux fourchettes au Michelin. Son site Internet est à cette adresse : www.restaurant-les-remparts.com. Il présente un attrait évident par rapport à d’autres de même type : il présente le restaurateur ! Une page entière est consacrée au parcours de David Chassage, enfant du pays revenu il a quelques années à Bazas pour ouvrir son restaurant. Pour le reste, les photos sont petites, les menus présentés de façon assez peu attractive. Un relookage du site s’imposerait. Mais cela n’enlève absolument rien à la qualité de cette superbe table !


 

 

Illustrations

http://www.restaurant-labricotier.com/

 


lundi 15 mars 2010

Planète Garorock

 Dans quelques jours, au début avril, des milliers de jeunes festivaliers vont débarquer de toute l’Europe vers Marmande pour le Garorock ! Ils préparent cet évènement en se servant énormément d’Internet pour communiquer et se renseigner. Tour de piste.


Radio Garorock

Nous avons déjà présenté ici la télévision de Garorock, sur www.tele47.fr. Dès le premier jour du festival, le vendredi 02 avril, la télé diffusera une émission en direct. Mais maintenant, Garorock a aussi sa radio, sur le site communautaire Deezer : www.deezer.com. Ce site est une plateforme musicale, qui propose d’écouter de la musique en streaming, c'est-à-dire que les morceaux ne sont pas téléchargés, mais stockés temporairement dans la mémoire vive de votre ordinateur. Dans la rubrique « radio partenaire » de Deezer, vous trouverez la radio de Garorock proposant un medley des groupes programmés cette année.

Mais la musique, vous l’aurez aussi sur le site Internet du festival : www.garorock.com. Un site qui est à lui seul un bout du spectacle. Réalisé en technologie flash, il déborde de petites animations. Cela commence lorsque l’on clique sur les menus : quelques plumes s’envolent. Pour chaque menu, qu’il concerne la programmation, les informations pratiques ou la billetterie, la page s’affiche avec un petit effet bien travaillé. Le tout se retrouve sur un fond bleu, avec l’emblème de Garorock pour 2010 : un festivalier arborant un magnifique chapeau. Et, en bas de l’écran, un petit écran diffuse la musique programmée. A noter le coin du forum, qui héberge déjà de nombreuses questions autour de l’évènement. Vraiment bien réalisé et dynamique, ce site Internet.


La galaxie garorock

Depuis le site Internet du festival, vous accèderez facilement à de nombreuses ramifications de l’évènement. Un petit logo facebook vous amène vers la page officielle où cohabitent 6710 membres, excusez du peu. Le « mur » de cette page permet aux festivaliers de s’exprimer. Les demandes de covoiturage y sont les plus nombreuses. Mais c’est là aussi que de jeunes européens, venus d’Espagne ou d’Allemagne demandent des conseils sur l’hébergement. Les réponses sont bien sur communautaires : tout le monde participe.

Une autre icône, toujours depuis la première page du site renvoie vers Myspace.com. Sur cette communauté musicale, Garorock a 4347 amis, qui découvrent la programmation, échangent et peuvent aussi écouter la programmation de cette édition.

Toujours depuis la page d’accueil du site Internet de Garocok, on peut rejoindre le blog de l’évènement qui s’affiche sur la plateforme Blogspot : http://garorock.blogspot.com/. Il donne quelques détails sur la vie de l’évènement en dehors de la période « chaude » de début avril.

La billetterie n’est pas en reste ; le festival est associé à la plateforme www.digitick.com qui vend en ligne l’ensemble des billets.

Et le festival est sur toutes les pages du web : sur Google, on ne trouve pas moins de 191000 occurrences pour cette recherche, soit au moins autant de pages qui évoquent cette manifestation qui fait partie aujourd’hui des plus grands festivals nationaux !



lundi 1 mars 2010

Web burlesque

Cocumont et Monteton sont deux communes lot-et-garonnaises à faire partie de l’association des communes de France aux noms burlesques et chantants, avec 70 autres villages de l’hexagone, comme d’ailleurs Bourgougnague ou Moncrabeau. Comment nos communes traitent-elles le sujet sur le web ?


Cocumont, terroir d’Aquitaine
 La commune de Cocumont est une cheville ouvrière de l’association des communes aux noms burlesques et chantants. Elle a même organisé en 2005 la rencontre nationale ! C’est ce que l’on peut trouver comme information sur le site Internet de la commune qui a été récemment renouvelé : www.cocumont-aquitaine.fr. Une page est consacrée aux communes burlesques dans la rubrique tourisme du site.

Un site Internet qui est tout à fait original et sympathique. Sous la signature « Cocumont, Terroir d’Aquitaine », on découvre un agréable mariage du mauve, couleur du vin rouge, et du vert, sans doute pour le vin blanc. Ainsi les crus de la commune sont-ils mis en avant. Le fond de page est mauve, les menus sont verts. Des menus qui se déroulent au simple passage de la souris, ce qui facilite la navigation. Les rubriques sont nombreuses, qui vont de la localisation, à l’histoire, au patrimoine, au tourisme, à l’économie, etc. On trouve même une rubrique intitulée « nos voisins ». Car chose assez rare pour être soulignée, l’esprit de clocher cocumontais est une chose relative, car cette rubrique présente les communes voisines de Romestaing ou Sigalens, en Gironde ! Quelle ouverture d’esprit !

Une ouverture d’esprit que l’on note également dans les nombreuses vidéos qui enrichissent le site. Des réalisations de grand qualité, signées Bernard Lataste (ou plutôt Etsatal, son anagramme…), cheville ouvrière de la communauté et vidéaste de talent. Je vous invite à regarder le reportage consacré à l’enseignement du gascon à Cocumont, qui vaut de nombreuses émissions de la télévision publique ! les vidéos sont publiées en petit format sur le site de la commune, et regardables sur Dailymotion (www.dailymotion.fr) en grand format, et ce d’un simple clic.

Autres intérêts du site communal : le menu de la cantine, jour par jour, important pour les élèves avant de se faire porter pale… Et des liens sur des sites locaux, comme par exemple le succulent blog de « ça marche à Cocumont », l’association de randonnée pédestre : http://randococumont.blogspot.com. A consulter absolument…


Monteton, intime et chaleureux

<Texte standard> C’est à cette adresse : http://www.monteton.fr que vous découvrirez cette autre commune burlesque, qui n’hésite pas, chaque année à animer une superbe foire aux chapeaux (cette année, ce sera le 09 mai 2010). Le site, en rouge et or, a à peu près tout ce qu’il faut pour une petite commune : des informations pour les habitants, les bonnes adresses, une présentation touristique, l’agenda, le journal de la commune en téléchargement, une photothèque avec des cartes postales anciennes, et quelques anecdotes historiques.

Un bon exemple à prendre pour de nombreuses communes, sans doute moins burlesque, mais qui devraient aussi s’afficher sur le web !



mardi 2 février 2010

Huis clos et foie gras

L’opération se déroule cette semaine : cinq journalistes enfermés dans un gîte du Périgord, avec des ordinateurs et un seul lien sur le monde : les deux réseaux sociaux Facebook et Twitter. Explications


L’autre source d’information
 Comment être informé et informer à son tour, quand on est coupé des sources traditionnelles d'information ? C’est l’expérience menée à l’initiative des Radios Francophones Publiques et qui s’appelle « Huis clos sur le Net ». Cinq journalistes de radios sont isolés dans un gîte rural au coeur du Périgord, près de Sarlat, et coupés de tous médias traditionnels.

Leur seul accès à l’information : Twitter et Facebook.

Ils ont accepté de "jouer le jeu" et de ne pas aller sur les sites traditionnels, ils n'ont ni télévision, ni radio, ni presse écrite, ni dépêches d'agence...

L’objectif est de comparer l’information qu’ils trouvent sur ces réseaux sociaux à l’information qui sera diffusée en même temps sur leur propre radio.

Comment fait-on pour aller chercher l’information sur ces médias ? Le plus opérationnel est le service de microblogging Twitter (www.twitter.com).

Au départ, Twitter a été créé pour répondre à la question « qu’êtes-vous en train de faire ? ». Le but étant d’indiquer en 140 caractères maximum ce qui est très court son activité du moment.

Qui peut lire cet actualité ? Tout le monde peut « s’abonner » à vos tweets ; « tweet » signifie « gazouillis » en anglais. Lorsque quelqu’un s’abonne, c’est un « abonnés », en anglais, un « suiveur » en français. De la même façon, depuis votre compte Twitter, vous allez pouvoir suivre vous aussi d’autres personnes, médias, ou entreprises. Ce seront vos « following » en anglais, ou vos « abonnements » en français.

Que raconte t’on sur Twitter ? Le mode d’expression a largement évolué cette dernière année. On est passé de la question « que fais-tu ? » à « que se passe t’il ? ». La réactivité du média fait que dans le cas d’évènements importants (la révolution verte en Iran, le tremblement de terre en Haiti, par exemple), les utilisateurs de téléphone portable ou d’Internet communiquent grâce à Twitter. L’information diffusée peut ensuite être « retweetée », c'est-à-dire rediffusée par le lecteur. Ainsi, tout va très vite, même parfois les mauvaises ou fausses informations.

Twitter est géolocalisable, ce qui permet de suivre les informations locales. Dans notre région, des médias comme le journal aquitain « aqui.fr » ont un compte (twitter.com/jbrey33)) ; on peut aussi suivre les tweets de personnalités politiques. C’est le cas de Martine Faure, députée de la neuvième circonscription de la Gironde (twitter.com/MartineFaure) qui reprend ses informations Twitter sur son blog.

Pour suivre une aventure ou une discussion sur Twitter, il faut utiliser un « hashtag ». C’est un mot-clef précédé du signe « dièse » (#). Ainsi, pour en revenir à l’expérience journalistique chez nos voisins périgourdins, il suffit de chercher dans la barre de recherche de twitter « #huisclosnet ».


Facebook, un peu de tout

 L’autre site consulté par nos journalistes nourris au foie gras truffé est Facebook. Nous avons déjà évoqué ce réseau social aux 300 millions de membres. En France, il y a quinze millions d’utilisateurs dont la moitié se connectent au moins une fois par jour. Très répandu chez les adolescents à son lancement, le réseau Facebook est maintenant utilisé par toutes les générations qui échangent statuts (ce que je fais en ce moment), photos, vidéos, informations, etc. Facebook est plus fermé que Twitter, car si on règle bien les paramètres de sécurité, seuls vos « amis » verront ce que vous écrivez. Facebook est très populaire chez nous. Il n’existe pas moins de 73 groupes qui aprlent du département de Lot-et-Garonne ; Celui intitulé « tu sais que tu viens du Lot-et-Garonne quand… » compte quand même 3984 membres !

Nous en reparlerons !


 

 

 


mardi 26 janvier 2010

Communautés locales

Ils habitent respectivement Grateloup en Lot-et-Garonne, et Villandraut, en Sud Gironde, et ils sont persuadés que Internet peut jouer un rôle de média local, en rapprochant les gens. Ils ont donc créé des communautés sur le web.


 De l’énergie à revendre

 Les meilleures idées naissent souvent du quotidien. Ainsi, Didier Sorel, informaticien, avait plusieurs amis qui désiraient se regrouper pour acquérir au meilleur prix des panneaux solaires. Mais où trouver les artisans ou fabricants qui vont faire les devis ? Comment rapprocher ces clients potentiels de professionnels ? C’est de là qu’est parti le projet « proxinergie » (www.proxinergie.fr), lancé avec un compère franco-américain, Samuel Cranford. Le concept est simple : il y a deux communautés ; d’un coté, les particuliers, qui s’inscrivent gratuitement sur le site. De l’autre, les professionnels locaux, qui peuvent être des artisans, commerçants, services, etc. Eux paieront une participation pour leur présence sur le site. Il suffit alors au particulier qui cherche un professionnel local pour des travaux à réaliser, un banquet à organiser, de la formation, ou toute autre prestation de passer un « appel d’offres » et les propositions qui seront adressées.

Autre outil intéressant : l’appel à projets. Celui-ci permet de contacter d’autres membres de la communauté intéressés par un projet commun : organiser une randonnée, ou faire un achat groupé par exemple. Ces projets seront consultables par les autres membres de la communauté.

Le site, dynamique, fonctionne remarquablement bien, est assez intuitif, et organisé.

Il ne manque finalement aujourd’hui, que des utilisateurs ! Les premiers professionnels se sont inscrits, et, pour renforcer la communauté « professionnels », des offres alléchantes vont ainsi être faites aux premiers inscrits. Très rapidement, des « bêtatesteurs » vont également rejoindre le site. Quant aux particuliers de notre région, ils auraient tort de ne pas profiter de cet outil qui bien que virtuel, va mettre du lien social dans notre territoire.

Donc n’hésitez pas, allez faire un tour sur www.proxinergie.fr.

 

La communauté des pizzanautes

 Voici une idée dont on imagine qu’elle est assez unique dans le monde de la pizza, de la vidéo, et du web comme on l’imagine à la lecture de ce message : Habitant en Sud Gironde à Villandraut, je viens vers vous suite à la mise en ligne de mon site www.PizzaToy.com .
Ce dernier s'adresse aux pizzaiolos et aux consommateurs de pizzas. Le but du concept est de former des communautés de pizzanautes. Le pizzaïolo crée sa Page Pizzeria, affiche facilement sa carte des pizzas grâce à une interface spéciale, puis ses membres/clients viennent s'inscrire pour profiter des fonctions de PizzaToy !

Et la fonction principale est le fait de bénéficier, grâce à l’achat de pizzas, de tickets de téléchargement de films sur Internet. Tout pour faire comme dans la chanson de Bénabar : « on s'en fout on y va pas, on reste à la maison et on mange une pizza »…

Pour mettre ce système en place, le site propose aux pizzaiolos de s’inscrire et d’adhérer au système. A ce jour, on découvre la page de la pizzéria de Villandraut et d’une de Langon. L’inscription est gratuite pour les professionnels.

Comment va marcher le système ensuite ?

Tout simplement vous prenez votre téléphone pour commander une pizza à votre pizzaiolo préféré. Celui-ci a été invité par Pizzatoy à remettre à leurs clients un ticket Pix’it avec leur pizza, au moment de la livraison. Et ce ticket vous permettra de télécharger la super vidéo sur Internet. Il ne reste plus qu’à regarder « les gendarmes de Saint Tropez » en dégustant une bonne « quatre saisons »…

A noter que les initiateurs de www.pizzatoy.com préparent actuellement une application Iphone, qui sera la version mobile de leur site.

Et que Sébastien Vimes, le « créateur du site,  doux rêveur et perfectionniste dans l’âme » s’est inscrit à la « start’up academy », qui comme son nom l’indique pousse les jeunes talents de l’Internet aux idées originales... On lui souhaite bonne chance !