lundi 29 octobre 2007

La messe à portée de clic

Le téléphone de l’abbé, l’email de ma paroisse, et même l’horaire de la messe de dimanche ? Rien ne peut plus échapper au paroissien, si peu qu’il dispose d’une connexion Internet. Il pourra également découvrir des sites très dynamiques de communautés religieuses comme celui de l’abbaye du Rivet à Auros.


On connaissait le fameux site Allociné (www.allocine.fr) qui permet de savoir salle par salle et film par film, ce qui sera projeté ce soir dans le cinéma de votre commune. Il y a maintenant la même chose pour la messe ! Messes Infos (http://messesinfo.cef.fr) est un service accessible par Internet ou par téléphone (34 cts d’euros la minute). Le principe de ce site est simple : on saisit le nom ou le code postal de sa commune, on appuie sur « rechercher » et on a l’horaire de la prochaine messe avec le nom de l’église où l’office se déroule. Une recherche approfondie permet de sélectionner le jour du week end, et même les grandes fêtes ou célébrations à venir. En sélectionnant le département dans son intégralité, l’internaute verra s’afficher par exemple l’ensemble des offices célébrés pour la Toussaint.

Ce service est très pratique, mais a une seule différence avec Allociné, que nous évoquons plus haut et qui permet de choisir son film. Ici, on choisit la séance mais pas le sermon…


Les diocèses

Le diocèse de la Gironde possède un site Internet qui est quasiment un portail et qui est extrêmement développé. On y accède à cette adresse : http://catholique-bordeaux.cef.fr. Il faut savoir que depuis 1996, l'Église catholique en France a un site Internet http://www.cef.fr.
L'équipe qui le réalise a, au long des années, accompagné et aidé des sites de diocèses, de congrégations, de services et de mouvements, de paroisses et d'associations à naître.
Pour marquer leur appartenance à l'Église catholique en France et en révéler la diversité, ces sites ont une adresse Internet se terminant par .cef.fr.

Le diocèse de Gironde ne faillit pas à cette logique. Le site offre divers services, comme par exemple la possibilité de s’adresser directement à un prêtre. La rubrique « un prêtre vous répond » donne l’email de différents hommes d’église spécialisés dans des questions diverses.

Le site donne aussi de façon très complète les coordonnées des paroisses et des secteurs pastoraux de la Gironde. Certains, comme celui des Graves, ont leur propre site Internet : http://secteur-pastoral-des-graves-catho33.cef.fr/. Cet espace, géré par les membres du conseil, avec un objectif annoncé : développer la communication au sein de la communauté.

En Lot et Garonne, le site du diocèse est à cette adresse : http://catholique-agen.cef.fr. Le site est moins fourni que celui du diocèse voisin, mais il apporte les informations essentielles. Ainsi, chacun pourra se rendre dans la rubrique « découvrir l’église en Lot et Garonne », pour connaître par exemple le nom de tous les


Une abbaye très branchée

Les sites des diocèses n’omettent pas de donner les liens utiles pour renvoyer sur les sites des communautés religieuses implantées localement ; c’est le cas par exemple de l’abbaye du Rivet, à Auros (www.abbayesaintemariedurivet.com) dont le site au fond de couleur jaune soleil est très dynamique, surtout que la première page s’accompagne de chants religieux, et d’un billet de l’abbesse. Entre une visite virtuelle de l’abbaye et la présentation de la vie monastique, les sœurs annoncent le concert de musique sacrée de ce vendredi. On promeut aussi les produits de la communauté. Pour cela, les sœurs utilisent le marketing Internet : c’est en cliquant sur une bannière de haut de page que le lien est actif avec la boutique en ligne !

De plus, des « goodies » sont installés : on peut ainsi envoyer une e-card depuis le site de l’abbaye, en utilisant de très belles photos. Et le livre d’or est un excellent moment de web 2.0 participatif. Qui a dit que les sœurs du Rivet n’étaient pas branchées Internet ?


lundi 22 octobre 2007

Rive gauche

En ces jours d’automne les vignobles des graves se parent de couleurs dorées. Les communes de la rive gauche de la Garonne, à proximité de Langon, en profitent pour développer des sites Internet, comme Mazères, Préchac ou Bourideys.


La commune de Mazères vient de nous informer de l’ouverture de son site Internet, à l’adresse suivante : http://mazeres.fr. Sous un aspect de simplicité, ce site est finalement très complet. On y trouve aussi bien la présentation du village, que des informations administratives sur le conseil municipal. Une riche rubrique est consacrée à la vie associative de cette commune du Sud Gironde, présentant les « Amis de la Forêt », comme la « Gym du Brion ». Enfin, une rubrique « photo » comportant de superbes clichés de Bernard Mugica, photographe langonnais bien connu agrémente ce site.

Au niveau de la conception, cette page web tient autant du blog, avec une actualisation permanente que du site classique. L’internaute appréciera notamment la rubrique « actualité » qui permet de voir ce qui se passe à Mazères, que ce soit le prochain passage du convoi d’Airbus, ou un dossier d’actualité sur le frelon asiatique. En bref, promeneurs virtuels comme citoyens de Mazères seront intéressés par cette initiative sur le web.

A Préchac, on a créé un « blog Commune », à cette adresse : http://www.prechac.fr. Sur les bords du Ciron, on apprécie la diversité et la complexité des articles. Aussi, sur la colonne de droite de ce site, les rubriques sont nombreuses, qui nous entretiennent de toute la riche vie de la commune d’un point de vue associatif, économique ou commercial. Mais toutes les pages ne sont pas remplies avec autant de célérité, notamment dans la rubrique « actualité ». Ainsi, en cliquant sur le lien « octobre 2007 » censé nous présenter les articles écrits durant ce dernier mois, on tombe sur une page vide. Tout le monde serait-il parti à la palombière ?


Vignobles de Graves

Sur la rive gauche, nombreux sont les châteaux viticoles à se promouvoir sur le net, et c’est bien logique. J’ai repéré quelques sites intéressants, mettant en avant autant le patrimoine que le vin. Ainsi, le château de Budos : www.chateau-de-budos.fr. Ce monument moyenâgeux, construit au 14ème siècle par un neveu de Clément V a fière allure. Les propriétaires y exploitent 25 hectares de vigne depuis des générations. On a beau habiter dans un château fortifié, on n’en reste pas moins commerçant et le site présente tarifs et possibilités de commande de vin.

A Fargues, le château de Fargues (www.chateau-de-fargues.com) a les couleurs dorées du Sauternes. Une très belle réalisation graphique donne envie de découvrir plus avant ce superbe site. Avec des murailles édifiées en 1306, cette propriété berceau de la famille Lur Saluces depuis des siècles méritait un site web d’une aussi grande qualité. Au résultat le mariage est réussi entre des photos s’affichant sur chaque page et du texte très documenté et agréable à lire. Un internaute souhaitant avoir une présentation à peu près complète de ce qu’est le vin de Sauternes, avec en prime l’histoire d’une grande famille sera comblé par le parcours virtuel dans ce site. A noter l’excellente page consacrée à « l’accord mets et vins ». Entre un design moderne et classique à la fois, des pages intéressantes et une photographie qualitative, ce site Internet mérite une mention !


Bourideys, espace nature

Cette petite commune située aux confins de la Gironde, dans le parc naturel possède une site internet fabuleux à l’adresse : http://bourideys.de-france.org. La page d’accueil s’ouvre sur un écran vert (comme la nature de Bourideys) accompagné d’une présentation en flash très « pro » ! Certes, les informations contenues pour la majorité sur la même page ne sont pas nombreuses, mais qu’importe ! Nous avons été charmés par la première impression, et c’est bien ce qui compte…


lundi 15 octobre 2007

Un mal bleu qui fait du bien

Cette édition du Républicain parait un jeudi 18 octobre, et en ce jour de la Saint Luc, nombreux seront nos lecteurs à célébrer « lou grand truc » et à guetter les vols de palombes à la gueyte. Pour attendre l’oiseau bleu, nous avons déniché quelques sites Internet de première utilité pour tout bon paloumayre…


Nous avons déjà présenté dans ces colonnes le site quasi « officiel » de la chasse à la palombe : www.palombe.com. Il n’a pas été refait depuis plusieurs années, ce qui lui ferait pourtant du bien. Néanmoins c’est l’endroit où les chasseurs trouveront toutes les informations sur les conditions de chasse, le comptage des palombes ou les petites annonces. Seul point noir : les écrans publicitaires y sont un peu trop fréquents.

Dans les pages persos, réalisées par des chasseurs, on aime bien ce paloumayre landais qui est aussi amoureux de sa région que de son sport automnal. A l’adresse http://lapalombiere.free.fr, vous découvrirez des photos splendides de fougères landaises sur fond de brouillard automnal, ou de belles vues de la forêt. Une page est spécialement consacrée à la forêt, une autre aux champignons. La « cabane » du paloumayre est visitable. On trouve également sur le site un très beau poème, qui montre bien la sensibilité des chasseurs….


La cabane dans les bois

S’il est un site qui présente fort bien la palombière comme un élément du patrimoine architectural aquitain, c’est le site « cabanes d’Aquitaine ». Il est visitable à l’adresse http://cabanes.u-bordeaux3.fr. Ce site a été réalisé par des étudiants de l’université de Bordeaux et a pour objectif, dans le cadre de la Banque Numérique du Savoir d’Aquitaine de numériser toutes les cabanes que comptent notre région, qu’il s’agisse de cabanes de pêcheurs, de bergers, ou de chasseurs.

A la rubrique « cabane des bois », c’est donc une palombière du Mas d’agenais qui est présentée dans le détail. Une galerie photographique permet aux non initiés de visiter l’intérieur et l’extérieur de l’ouvrage. Plusieurs rubriques présentent la palombière : la législation, les différentes étapes nécessaires à sa construction, et son environnement.

L’autre partie est consacrée à l’activité humaine qu’est la chasse à la palombe ; Aussi, la rubrique « histoire » explique, que depuis le 18ème siècle, il s’agit d’un savoir faire régional.

Une présentation des différents types de palombières, à pante, ou en hauteur est complétée par deux vidéos. Deux chasseurs, Jean Marc Crideloze, du Mas d’Agenais, et Rémi de Montbron, de Captieux, témoignent ainsi sur votre écran sur un petit écran vidéo. Ils évoquent leur passion et le fonctionnement de leur chasse. Ne manquez pas ces bons moments d’Internet.

Un autre site a retenu notre attention : le village de Mauriac, près de Sauveterre de Guyenne a un de ses habitants féru d’Internet, qui a réalisé un petit site parlant de sa commune : http://vivre-a-mauriac.monsite.wanadoo.fr/. Il se trouve que l’auteur a une passion : la chasse. C’est donc tout naturellement qu’il a réalisé une page sur ce thème.

Autre initiative intéressante, du coté de Captieux. Le domaine de Londeix (www.londeix.com) qui tient chambre d’hôte et gite de caractère propose des « journées chasse ». La rubrique « chasse à la palombe » présente ce produit touristique original. Pour 90 euros la journée, le visiteur s’initiera à la chasse au filet, « de l’aube à la tombée de la nuit », casses croutes, petit déjeuner et déjeuner compris…


La vidéo à ne pas rater : ma journée à la palombière !

Un chroniqueur bien connu de cet hebdomadaire, qui a un humour décapant a raconté un jour sa journée à la palombière sur une radio. Un auditeur, dénommé « Naunau » n’a pas hésité à enregistrer ce grand morceau radiophonique et à le diffuser sur Internet. Allez sur le site de Dailymotion (www.dailymotion.com), tapez « palombière » dans le moteur de recherche, et choisissez la vidéo qui a déjà été visionnée près de 15000 fois. Vous reconnaitrez la voix d’un réolais animateur de radio, et vous vous paierez une grande tranche de rire…










lundi 8 octobre 2007

Le mystère de l’Entre deux Mers

Longtemps, les découvertes rares faites au fond d’un grenier sont restées inconnues du plus grand nombre. La magie d’Internet permet de les diffuser au plus grand nombre. Témoin, ce parchemin découvert dans une armoire de famille et qui conte les mystères de l’Entre deux Mers.


Le blog s’appelle tout simplement « Entre deux Mystères » et se trouve à l’adresse suivante : http://entre2mers.blogspot.com. L’auteur, habitant Grézillac, en Entre deux Mers, comme le dit son profil, chevauche son fidèle destrier (un VTT) avec pour « mission de contrôler l'exactitude de ce qui est écrit dans le manuscrit sur l'Entre-Deux-Mers ».

Mais quel est donc ce manuscrit ? L’explication se trouve dans la présentation du blog : « Ce blog est directement lié à l’exploration d’un manuscrit anonyme retrouvé dans une bibliothèque de famille et que je date de la fin du XIXe siècle. Sobrement intitulé « Notes sur l’Entre-Deux-Mers », ce manuscrit est en fait un recueil des phénomènes les plus étranges, des histoires les plus insolites et des anecdotes les plus pittoresques de l’Entre-Deux-Mers, une région verdoyante de la Gironde coincée entre Dordogne et Garonne. »

Ainsi, page après page, le blogueur enquêteur vététiste nous livre des extraits de son manuscrit, suivis du récit de la vérification sur le terrain. La quête a commencé il y a deux ans, à Beguey, sur le canton de Cadillac. Le manuscrit conte l’étrange histoire d’une statuette qui avait apeurée les habitants du village. On construisit une chapelle sur place. L’auteur du blog raconte son périple sur les lieux, avec histoire de sortilège à l’appui : ses photos numériques ont mystérieusement une allure bizarre...

Ainsi, chaque page du manuscrit d’origine inconnue racontant un évènement surnaturel survenu de Cantois à Omet est vérifiée par l’auteur du blog. Quelques photos accompagnent le récit, ainsi que des notes explicatives.

Un blog à ne pas rater.


Découverte de Targon

Cette promenade dans les collines de l’Entre deux mers nous donne envie de balades d’automne dans le canton de Targon. L’office de tourisme y a ouvert un site (www.targon-tourisme.net) qui présente l’ensemble des communes de la communauté de communes. Ces petits villages de Benauge, d’Arbis à Saint Genis du Bois, de Cessac à Escoussans recèlent tous un patrimoine rare. Une page du site est consacrée à chaque commune, avec quelques photos à l’appui.

Un site privé (www.publi-gironde.net) consacre aussi de nombreuses pages à ce secteur de l’Entre deux Mers. Outre une cartographie, le portail recense de nombreux liens vers des sites Internet existants, présente les châteaux viticoles, les services et les richesses touristiques locales. Il y a pour dire vrai tellement d’informations diverses dans ces pages web que l’on a parfois du mal à y trouver son chemin…

Pour conclure cette visite des atouts historiques et patrimoniaux de ce secteur, je vous recommande de faire un tour sur le site des Editions de l’Entre deux Mers. Cette association, très liée aux sociétés historiques locales a développé depuis des années un catalogue d’éditions de qualité que pourraient lui envier de nombreux concurrents souvent situés dans des places beaucoup plus urbaines. Sur le site (www.editions-entre2mers.com) vous trouverez très facilement l’ensemble des collections publiées sur notre région.


Le forum des bons plans.

Sudgironde.com, le portail territorial bien connu vient d’ouvrir un forum des bons plans pour « bien boire, bien manger, bien vivre en Sud Gironde ». (www.sud-gironde.fr/sabitout/) Ce « sabitout » virtuel invite chaque internaute local à publier qui une adresse de maraicher, qui un contact pour de la viande de qualité, qui un tuyau pour manger bio… Un bon moyen de faire fonctionner le réseau…

Donnez votre avis sur votre assiette

Avant d’aller au restaurant, vous pouvez maintenant consulter Internet pour savoir ce qu’en pensent d’autres consommateurs. Cet échange communautaire d’opinion est la base du mouvement appelé « web 2.0 ». Une mine d’information pour le client… et pour le restaurateur.


Les guides de restaurant incluant l’avis des internautes sont donc très nombreux. Simplement, ils ne sont pas tous très vivants, et de nombreuses fiches de restaurant demeurent sans appréciation. Pour notre région, le site « l’Internaute.com » (www.linternaute.com, rubrique « restaurant » sur la colonne de gauche) est un des mieux renseignés. Le principe est simple : en naviguant à partir d’une carte de France ou en saisissant le nom ou le code postal d’une ville, on voit la liste des restaurants sur lesquels il y a des avis de consommateur. Ceux-ci donnent des étoiles (de 1 à 5) et rédigent quelques lignes sur ce qu’ils pensent de l’établissement. On trouve ainsi deux restaurants « critiqués » à Langon, deux à Bazas, un à Monségur, quatre à Marmande, etc. Les restaurateurs auront intérêt à parcourir ces pages, révélatrices des aventures qui peuvent arriver au client mal servi, ou très content. Un internaute relate le mauvais service d’un restaurant langonnais. Un second loue le charme d’une restauratrice réolaise, un autre encore vante la qualité de la viande d’une rôtisserie marmandaise, etc. Ces internautes, critiques gastronomiques virtuels, laissent leur identité et leur ville d’origine sur le site. Ils sont souvent de la région, et parfois se passionnent pour ce rôle de testeur. Ils parcourent ainsi les guinguettes locales et écrivent sur tous les établissements qu’ils fréquentent.

Deux autres «géants » de l’Internet occupent ce créneau de l’avis de consommateur. Yahoo, tout d’abord, qui dans sa version béta de « Yahoo Local » (http://fr.local.yahoo.com) affiche la liste des restaurants d’une localité avec une carte en vis-à-vis. Les établissements qui ont été notés par les consommateurs sont surlignés en rouge. Peu d’avis sont rédigés, et à priori, moins gastronomiques, puisqu’à Marmande, ce sont le « Mac Do » et la « cafet Casino » qui sont évaluées par les internautes.

Autre outil intéressant : celui de Google Maps, le service cartographique de Google (http://maps.google.com). Une fois localisé la commune, l’internaute peut saisir « restaurant » dans la rubrique « commerce ». Ceux-ci sont positionnés sur une carte par un petit pictogramme. En cliquant dessus, une fiche d’identité présente l’établissement. Un nouveau clic sur le symbole « plus » permet de visualiser les avis des consommateurs, mais aussi de lister toutes les pages Internet qui parlent de cet établissement. Il s’agit d’un véritable « moteur de recherche cartographique ».


La Galettoire et Les Platanes

Le thème de cette rubrique nous donne l’occasion de présenter deux sites Internet de restaurants et bars locaux que nous venons de découvrir.

A Tonneins, il s’agit du « Galettoire », une crêperie bretonne (www.creperie-le-galettoire.com). Le site est réalisé en langage flash, ce qui permet une animation graphique agréable. Mêlant des cadres photos sur un fond rouge et bleu, il est vraiment original et intéressant. Une fourchette s’anime au passage de la souris sur les différentes rubriques du site, ce qui est du meilleur effet. Comme le site est assez détaillé, avec présentation de la carte, vous pourrez composer votre menu avant d’aller diner. Présentation des salles, plan d’accès, partenaires, tout a été bien développé dans les rubriques.

A La Réole, le « Bar des Platanes » (www.lesplatanes-lareole.com) a une page d’accueil quasi nostalgique, avec une reproduction noir et blanc du vieux pont de La Réole, à coté duquel est situé le café-restaurant. Là, plus de fourchettes, mais des feuilles mortes et des oiseaux qui parcourent l’écran, animant ainsi la lecture. Les rubriques présentant les différentes activités de l’établissement sont relativement classiques.





Illustrations


http://www.creperie-le-galettoire.com/