lundi 15 mars 2010

Planète Garorock

 Dans quelques jours, au début avril, des milliers de jeunes festivaliers vont débarquer de toute l’Europe vers Marmande pour le Garorock ! Ils préparent cet évènement en se servant énormément d’Internet pour communiquer et se renseigner. Tour de piste.


Radio Garorock

Nous avons déjà présenté ici la télévision de Garorock, sur www.tele47.fr. Dès le premier jour du festival, le vendredi 02 avril, la télé diffusera une émission en direct. Mais maintenant, Garorock a aussi sa radio, sur le site communautaire Deezer : www.deezer.com. Ce site est une plateforme musicale, qui propose d’écouter de la musique en streaming, c'est-à-dire que les morceaux ne sont pas téléchargés, mais stockés temporairement dans la mémoire vive de votre ordinateur. Dans la rubrique « radio partenaire » de Deezer, vous trouverez la radio de Garorock proposant un medley des groupes programmés cette année.

Mais la musique, vous l’aurez aussi sur le site Internet du festival : www.garorock.com. Un site qui est à lui seul un bout du spectacle. Réalisé en technologie flash, il déborde de petites animations. Cela commence lorsque l’on clique sur les menus : quelques plumes s’envolent. Pour chaque menu, qu’il concerne la programmation, les informations pratiques ou la billetterie, la page s’affiche avec un petit effet bien travaillé. Le tout se retrouve sur un fond bleu, avec l’emblème de Garorock pour 2010 : un festivalier arborant un magnifique chapeau. Et, en bas de l’écran, un petit écran diffuse la musique programmée. A noter le coin du forum, qui héberge déjà de nombreuses questions autour de l’évènement. Vraiment bien réalisé et dynamique, ce site Internet.


La galaxie garorock

Depuis le site Internet du festival, vous accèderez facilement à de nombreuses ramifications de l’évènement. Un petit logo facebook vous amène vers la page officielle où cohabitent 6710 membres, excusez du peu. Le « mur » de cette page permet aux festivaliers de s’exprimer. Les demandes de covoiturage y sont les plus nombreuses. Mais c’est là aussi que de jeunes européens, venus d’Espagne ou d’Allemagne demandent des conseils sur l’hébergement. Les réponses sont bien sur communautaires : tout le monde participe.

Une autre icône, toujours depuis la première page du site renvoie vers Myspace.com. Sur cette communauté musicale, Garorock a 4347 amis, qui découvrent la programmation, échangent et peuvent aussi écouter la programmation de cette édition.

Toujours depuis la page d’accueil du site Internet de Garocok, on peut rejoindre le blog de l’évènement qui s’affiche sur la plateforme Blogspot : http://garorock.blogspot.com/. Il donne quelques détails sur la vie de l’évènement en dehors de la période « chaude » de début avril.

La billetterie n’est pas en reste ; le festival est associé à la plateforme www.digitick.com qui vend en ligne l’ensemble des billets.

Et le festival est sur toutes les pages du web : sur Google, on ne trouve pas moins de 191000 occurrences pour cette recherche, soit au moins autant de pages qui évoquent cette manifestation qui fait partie aujourd’hui des plus grands festivals nationaux !



lundi 1 mars 2010

Web burlesque

Cocumont et Monteton sont deux communes lot-et-garonnaises à faire partie de l’association des communes de France aux noms burlesques et chantants, avec 70 autres villages de l’hexagone, comme d’ailleurs Bourgougnague ou Moncrabeau. Comment nos communes traitent-elles le sujet sur le web ?


Cocumont, terroir d’Aquitaine
 La commune de Cocumont est une cheville ouvrière de l’association des communes aux noms burlesques et chantants. Elle a même organisé en 2005 la rencontre nationale ! C’est ce que l’on peut trouver comme information sur le site Internet de la commune qui a été récemment renouvelé : www.cocumont-aquitaine.fr. Une page est consacrée aux communes burlesques dans la rubrique tourisme du site.

Un site Internet qui est tout à fait original et sympathique. Sous la signature « Cocumont, Terroir d’Aquitaine », on découvre un agréable mariage du mauve, couleur du vin rouge, et du vert, sans doute pour le vin blanc. Ainsi les crus de la commune sont-ils mis en avant. Le fond de page est mauve, les menus sont verts. Des menus qui se déroulent au simple passage de la souris, ce qui facilite la navigation. Les rubriques sont nombreuses, qui vont de la localisation, à l’histoire, au patrimoine, au tourisme, à l’économie, etc. On trouve même une rubrique intitulée « nos voisins ». Car chose assez rare pour être soulignée, l’esprit de clocher cocumontais est une chose relative, car cette rubrique présente les communes voisines de Romestaing ou Sigalens, en Gironde ! Quelle ouverture d’esprit !

Une ouverture d’esprit que l’on note également dans les nombreuses vidéos qui enrichissent le site. Des réalisations de grand qualité, signées Bernard Lataste (ou plutôt Etsatal, son anagramme…), cheville ouvrière de la communauté et vidéaste de talent. Je vous invite à regarder le reportage consacré à l’enseignement du gascon à Cocumont, qui vaut de nombreuses émissions de la télévision publique ! les vidéos sont publiées en petit format sur le site de la commune, et regardables sur Dailymotion (www.dailymotion.fr) en grand format, et ce d’un simple clic.

Autres intérêts du site communal : le menu de la cantine, jour par jour, important pour les élèves avant de se faire porter pale… Et des liens sur des sites locaux, comme par exemple le succulent blog de « ça marche à Cocumont », l’association de randonnée pédestre : http://randococumont.blogspot.com. A consulter absolument…


Monteton, intime et chaleureux

<Texte standard> C’est à cette adresse : http://www.monteton.fr que vous découvrirez cette autre commune burlesque, qui n’hésite pas, chaque année à animer une superbe foire aux chapeaux (cette année, ce sera le 09 mai 2010). Le site, en rouge et or, a à peu près tout ce qu’il faut pour une petite commune : des informations pour les habitants, les bonnes adresses, une présentation touristique, l’agenda, le journal de la commune en téléchargement, une photothèque avec des cartes postales anciennes, et quelques anecdotes historiques.

Un bon exemple à prendre pour de nombreuses communes, sans doute moins burlesque, mais qui devraient aussi s’afficher sur le web !