samedi 29 décembre 2007

Du Graves plein les yeux

Les fêtes de fin d’année sont l’occasion de satisfaire ses papilles de quelque bonne bouteille. Avant de déguster le nectar, il est toujours agréable de le goûter virtuellement à travers le site Internet, qui de plus en plus souvent lui est dédié. C’est le cas pour les vins de Graves ou des premières Côtes dont les sites Internet rivalisent de joliesse.


Notre première étape sera à Pujols sur Ciron, dans le canton de Langon, et plus précisément au château Saint Robert. Le site de ce cru de Graves est d’une grande finesse : www.chateau-saint-robert.com. Les propriétaires, qui possèdent plusieurs vignobles (dont le château Bastor Lamontagne dans le Sauternais) ont choisi une mise en page sobre et élégante. Sur un écran au fond gris, un rectangle blanc abrite les pages du site. Sur la gauche, une illustration noir et blanc annonce le thème de la page. Ainsi, la page intitulée « finesse des vins de Graves » laisse apparaitre une vue des cailloux qui font ce fameux terroir du bordelais. Un panier de raisin illustre la « fiche technique », un tire-bouchon présente la revue de presse. La navigation au sein de cet univers au graphisme travaillé est simple : les pages apparaissent progressivement, comme sans effort. L’internaute qui aura été séduit par la découverte du château Saint Robert pourra commander en ligne, en accédant à la boutique des vignobles Foncier, propriétaires des lieux.

Nous rencontrons la même sensation d’élégance en poursuivant notre balade virtuo-viticole, quelques kilomètres plus loin, à Podensac. Le château de Chantegrive ouvre son site Internet (www.chantegrive.com) sur une page d’accueil orangée, couleur flashy assez inhabituelle pour un grand cru de Bordeaux. Les photos sont aussi originales : on y voit surtout des gros plans et des vues très esthétiques de la vigne, ce qui est assez loin des standards de la profession. L’architecture du site est peu banale : on y parle de l’actualité ou de l’histoire de la propriété, mais une importante rubrique est intitulée « les quatre saisons ». Il s’agit pour l’internaute de pouvoir suivre la vie du produit depuis l’automne, lorsque la « vigne s’endort » jusqu’aux vendanges suivantes. Enfin, la photothèque de la propriété est à découvrir.


Des deux cotés de la Garonne

Dans les premières cotes de Bordeaux, nous avons été séduits par le site Internet du château Langoiran : www.chateaulangoiran.com. Le logo de la propriété représente une confortable toiture de chai. Il ponctue chaque bas de page, laissant en empreinte comme une tranquille assurance. Construit sur trois colonnes, le site privilégie une photo menu sur la colonne de gauche, présentant le cru, accompagnée d’un commentaire « terroir » sur la colonne de droite et d’une explication au centre de l’écran. Ainsi en quelques clics, l’œnophile aura fait le tour de la production du château avant de pouvoir commander ses flacons grâce à un formulaire en ligne.

Le site du château Toumillon, à Saint Pierre de Mons, toujours dans le Langonnais est un peu plus ancien. Il a été réalisé en 2003, et quatre ans après, il garde un graphisme contemporain mais les fonctionnalités commencent à dater : la preuve que la durée moyenne d’un site n’excède pas trois années !!! La particularité de ce site (www.chateau-toumilon.com) est son fond totalement noir. Quelques touches de rouge, notamment dans les puces des menus ponctuent cette couleur quasi unique. Le texte est blanc ou gris, selon sa position dans la page ; Le tout donne un aspect très élégant mais manque parfois un peu de lisibilité. Parallèlement, le site a été conçu pour des écrans qui avaient une faible résolution, alors qu’en quatre ans, la taille moyenne de ces mêmes écrans a singulièrement augmenté. Pour beaucoup d’internautes, il n’y aura donc qu’une petite partie de l’écran utilisée.

Enfin, nous avons visité les vignobles Peyromat (www.mjperromat.com) situés à Mazères et à Preignac sur plusieurs propriétés, et qui proposent du Bordeaux du Graves et du Sauternes. Plus classique, le site permet cependant d’avoir une large information, en français et en anglais, sur l’ensemble de la production de cette famille de viticulteurs très implantée dans la région.



Illustrations


http://www.chateau-saint-robert.com/index3.html


samedi 22 décembre 2007

Simplifiez vous les vœux

Pour que les cartes de vœux ne soient plus une corvée, que tout s’accélère et s’automatise, pensez à Internet. Plusieurs possibilités vous sont offertes, qui vont grandement vous simplifier la vie.


Si vous êtes de ceux qui ont toujours un peu de mal à s’organiser pour les vœux de bonne année, qui rechignent à faire les papeteries pour trouver le bon modèle de carte, puis qui s’ennuient à remplir une par une toutes les cartes, qui se désespèrent à remplir les adresses sur chaque carte, qui bougonnent en collant les timbres et qui fulminent en faisant la queue à la poste pour la dernière étape de ce rituel de début d’année, ne cherchez plus, Internet est fait pour vous !

Première possibilité : vous vous devez de respecter la tradition et vos correspondants auront plaisir à recevoir une carte de vœux cartonnée, adressée sous enveloppe. Utilisez le service « popcarte » (www.popcarte.com). Les inventeurs de ce site vous proposent un modèle de carte de vœux, et se chargent d’imprimer la carte et de la poster pour vous ! Explication : lorsque vous accédez au site Pop carte, vous pouvez choisir entre des dizaines de modèles de cartes de vœux qui s’affichent sur votre écran. Une fois que vous en avez sélectionné une, l’écran suivant vous permet de saisir votre texte personnalisé. Mais vous pouvez également télécharger une photo depuis votre ordinateur pour personnaliser encore plus votre carte, en choisissant parmi plus de cent styles d’habillage graphique.

Troisième étape : vous rentrez l’adresse de vos correspondants. La fonction « carnet d’adresses » vous permettra de conserver les coordonnées de vos destinataires pour l’année prochaine. Là, le tour est joué. En 24h, Popcarte imprime et poste pour vous votre carte. Coût de l’opération : entre deux et trois euros l’envoi, timbre compris. Le résultat est très soigné, et le succès garanti !

Si vous souhaitez remplir vous même la carte de vœux, Popcarte peut vous l’adresser à domicile et vous vous chargerez de l’envoi.


Cartes de vœux virtuelles

La deuxième possibilité, c’est l’ecard, c'est-à-dire la carte de vœux virtuelle. Ce système fonctionne bien lorsque vos correspondants sont équipés d’une adresse email. La carte de vœux électronique leur parvient alors dans leur boite à lettre électronique. Les services proposant des ecards de vœux sont nombreux. Mais certains ont des arguments fantastiques ! Prenez par exemple « linternaute » (http://www.linternaute.com/cartes). Ce service très complet propose des dizaines et des dizaines de modèles de cartes. Les « interactives », qui proposent des cartes animées avec un quizz ou un jeu sont très sympas. Une fois sélectionné votre carte, vous n’avez qu’à rentrer votre message et éventuellement importer votre carnet d’adresse électronique depuis outlook express ou un autre service de messagerie. Vous pouvez même définir la date et l’heure de l’envoi de votre carte de vœux. Ainsi, vous pourrez être d’une exquise ponctualité en envoyant à 0 heures précises le 1er janvier 2008 vos civilités. Si vous êtes inscrits au service, vous contrôlerez sans mal le suivi de vos envois.

Sur le site « le dromadaire » (http://carte1.dromadaire.com), vous pourrez en plus réaliser des vidéos humoristiques personnalisées, en téléchargeant une photo. Ainsi vous pourrez faire danser dans un costume de lapin blanc votre meilleur ami avant de lui envoyer la vidéo comme carte de bonne année. C’est pas sympa, ça ?

Et enfin, si vous êtes plus local, choisissez une ecard dans la base photographique de « France Voyages » (http://www.france-voyage.com). Ce site spécialisé dans les richesses patrimoniales et paysagères de tous les coins de France propose de créer sa carte virtuelle à partir d’une photo puisée dans la base du site.

C’est ce que j’ai choisi (notre illustration) pour mes meilleurs vœux de bonne année 2008 aux lecteurs du Républicain, avec comme illustration Castelmoron d’Albret : la plus petite commune de France pour vous souhaiter une très grande année.


lundi 17 décembre 2007

Actifs cybercommerçants

Ils s’y mettent donc eux aussi : votre magasin de prêt-à-porter s’est spécialisé dans la vente en ligne ? Votre magasin de chaussures est sur le net ? C’est normal, car aujourd’hui, c’est avant d’aller faire vos courses que vous pourrez flâner dans des rayons virtuels depuis votre ordinateur. Exemple de cybercommerçants à Marmande


D’abord, comment savoir si son boucher est présent sur le net ou si son marchand de chocolats prend les commandes par email ? Au lieu de faire une recherche magasin par magasin sur un moteur de recherche comme Google, on peut tout d’abord se rendre sur un site portail qui référence les commerces ville par ville. Un bon exemple est le « site des marques » : www.sitedesmarques.com. Ce portail recense toutes les marques présentes dans une ville, et propose une fiche détaillée par entreprise, avec lien sur le site Internet. Mais on se retrouve vite sur la page web de la maison mère et non pas sur celle du magasin local.

Les lot-et-garonnais pourront se repérer beaucoup plus facilement grâce au site tonneinquais « web et hop » que nous avons déjà présenté ici : www.webethop.com. Ce site de promotion des activités du département permet, grâce à la rubrique « bons plans » de trouver secteur par secteur la liste des commerçants partenaires ; Tous ceux qui possèdent un site web sont signalés par un bouton « Net » à coté de leur adresse. C’est ainsi que nous avons trouvé de nombreux cybercommerçants sur le Marmandais.


Ceux qui foncent, ceux qui explosent

Ceux qui foncent, ce sont les commerçants qui n’ont pas eu peur d’investir la toile, ne serait-ce que pour présenter leur activité à des visiteurs virtuels qui deviendront peut être demain des consommateurs réels…

Ainsi, Claude Bourdos photographe, qui a mis en ligne un site à découvrir : http://bourdos-photo.com. Derrière un bandeau en forme de pellicule, quelques pages d’accueil suffisent pour donner de premières informations aux visiteurs. Et puis, surprise : lorsque l’on se rend dans la rubrique « Marmande », après un clic supplémentaire, on pénètre dans une galerie de photos anciennes, dont de nombreuses vues de commerces d’époque. Un travail du photographe ainsi présenté au visiteur.

Ceux qui explosent, c’est pour le moins dynamique : le site de la discothèque marmandaise le « TNT » (www.le-tnt.com). Une vraie bombe, réalisée en langage flash. Sur fond d’une platine de DJ, des animations graphiques de qualité donnent le programme des prochaines soirées et proposent une visite panoramique des lieux. Et les amateurs de musique apprécieront : le son accompagne la visite virtuelle !

Ceux qui attirent, ceux qui vendent en ligne

Ceux qui attirent, ce sont les commerçants marmandaiss qui exposent en ligne leur collection. J’ai sélectionné l’enseigne présente à Langon et Marmande : « Shoes Elite». Le site de ce magasin de chaussures (http://shoes-elite-chaussure.com) fait la part belle aux photos des produits proposés, même si à ce jour tout n’est pas disponible ou complet. L’achat sur le site est à moitié possible : si le « panier » se remplit, le paiement par carte bleue se fait par téléphone ce qui ne doit pas convaincre beaucoup d’internautes.

En revanche le magasin de prêt-à-porter «Lolita », implanté à Marmande s’est mis totalement à la vente en ligne. Sur le site www.d-marques-mode.com, vous pourrez choisir entre les différents modèles féminins ou masculins, les sélectionner, et les commander sur le site, avec paiement sécurisé. Même si le magasin est à proximité, votre commande pourra vous être livrée à domicile.

C’est le même fonctionnement qui a été retenu par la boutique « Finesses Leonidas chez Ginette » de Marmande. Sur le site du magasin : www.finesses.com, ballotins et boites de chocolats sont vendues de façon promotionnelle dans toute la France par cette PME lot-et-garonnaise qui n’a pas hésité à s’investir dans le cybercommerce. Tout simplement, bravo !






Illustrations


http://www.le-tnt.com/


ou si il n’est pas client :

http://bourdos-photo.com/general.htm puis « Marmande, puis « galerie »




mardi 11 décembre 2007

Mon jardinier est sur le net

Le service à la personne est une activité économique en plein développement. Mais comment trouver une aide ménagère, un jardinier, ou un bricoleur expérimenté facilement, même en milieu rural ? Grace à de nombreux sites Internet, tout cela est beaucoup plus aisé.


Quoi de neuf donc dans l’aide à la personne ? C’est que maintenant on peut trouver une baby sitter ou une garde-malade près de chez soi, mais en passant par Internet, et en utilisant les services d’une association agréée et spécialisée. Première étape pour votre recherche : les annuaires. Nous avons retenu deux sites portails qui s’emploient à référencer l’ensemble des intervenants dans le domaine du service à la personne. Le premier s’appelle « Aid@domicil » : www.aidadomicil.com. Sous le slogan « l’aide et les soins à domicile au quotidien », ce portail recense, département par département l’ensemble des associations et structures spécialisées. Pour chaque contact, une adresse, l’email, voire le site Internet sont mentionnés. De plus, le même site se veut être une ressource pour les employeurs de salariés à domicile : on y trouve des modèles de contrat, des informations sur les réductions d’impôts, une rubrique sur le chèque emploi service, etc. Seul bémol : à être trop complet, ce service finit par être un peu confus et surchargé.

Le second portail, regroupe une partie de l’offre en termes d’aides à la personne : les ADMR (aide à domicile en milieu rural) rebaptisées « l’association du service à domicile ». Le site www.admr.org est extrêmement bien conçu, avec une rubrique « service » bien étudiée. En effet, elle est divisée en trois partie correspondant à différents besoins de service : familles, personnes âgées, personnes handicapées. Pour chaque catégorie d’utilisateurs, les métiers sont exposés clairement. La rubrique « où nous trouver » renvoie sur une carte de France, avec la possibilité de cliquer sur chaque département. Une liste complète des associations locales avec toutes les coordonnées est ainsi accessible. On notera qu’il existe plus de 30 ADMR dans le département du Lot et Garonne, par exemple…


Adom Services

D’autres structures sont plus récentes dans la proposition de services à la personne. Ainsi, à Langon et dernièrement à Marmande, la société Adom’ Services s’est spécialisée dans le service à la personne. On trouve le site à cette adresse : www.adom-services.fr. Sur une très jolie photo de famille dynamique sur fond bleu, le logo vert de la société fait bonne figure et donne une impression de site optimiste. Pour le sujet concerné, qui aborde notre vie quotidienne et parfois nos problèmes, l’ergonomie de la page web est donc tout à fait bien trouvée. Les informations mises en avant sur la page d’accueil sont simples et lisibles : au centre, deux paragraphes présentent la société installée donc à Langon, Marmande et Tonneins et spécialisée dans le service à la personne. Sur la colonne de droite, trois pavés attirent l’œil : le premier de couleur verte attire l’œil : il annonce la création d’un nouveau service « adom pro » destiné, comme son nom l’indique aux professionnels. Un second pavé donne le numéro de l’agrément qualité de la société, ce qui rassure le consommateur. Le troisième est un appel à recrutement : « devenez collaborateur d’Adom services ». On le sait, sur Internet, les sites présentant des offres d’emploi au sein de la société sur les pages « grand public » donnent une sensation de dynamisme et de bonne santé.

Le site présente donc les différentes prestations offertes par cette société d’un nouveau genre dans le domaine de l’aide à la personne : aide ménagère, garde d’enfants, soutien scolaire, aide à domicile, parcs et jardins, petit bricolage, mais aussi « services + » : assistance administrative, installation à domicile du matériel informatique, entretien de la résidence secondaire, etc. Tout cela est disponible localement, grâce au formulaire qui se trouve dans la rubrique « contact » qui va permettre à l’internaute de formuler sa demande.





Illustrations


http://www.adom-services.fr/pg_ads/ads_accueil.html



mardi 4 décembre 2007

Un web service pour chacun

Les web services sont des services gratuits en ligne qui vous facilitent la vie sur Internet. Ecrire un texte, créer un vrai site Internet, partager et travailler des photos, tout est possible sur le web.


Les éditeurs de logiciel qui vendent souvent à prix d’or des logiciels de traitement de texte, de calcul, de retouche photographique, comme Microsoft ou Adobe peuvent commencer à se faire des cheveux blancs. Aujourd’hui les mêmes services existent, gratuitement, et en ligne. Prenez par exemple Google (www.google.com). Vous utilisez sans doute ce moteur de recherche, le plus fameux en France puisqu’il est adopté par 80% des internautes. Regardez bien sur la page d’accueil de Google, au dessus de la barre de recherche : des liens sont possibles vers d’autres rubriques : images, actualités, ou Maps, services que vous connaissez. Mais si vous allez dans la rubrique « plus », vous atteindrez d’autres offres. Tout d’abord, il vous sera nécessaire si ce n’est déjà le cas d’ouvrir un compte chez Google : c’est gratuit. Dans la rubrique « communiquer, publier et partager », le géant américain met à disposition un nombre impressionnant de possibilités, totalement libres. Ainsi, la suite « Google documents » : http://docs.google.com. Ce web service vous permet de publier un document texte, de type « Word » dans votre compte Google. Vous pouvez le corriger, le mettre en page, et il sera sauvegardé sur les serveurs de Google, donc accessible pour vous depuis n’importe quel ordinateur équipé d’Internet. Un premier avantage. Mais si vous souhaitez partager ce document avec un collègue ou ami, c’est aussi simple. Envoyez-lui automatiquement un email avec le lien. Ainsi vous serez deux, ou plus, à pouvoir intervenir sur un même document (type compte rendu de réunion). Chaque modification sera archivée, et vous pourrez ainsi collaborer à distance tout en sauvegardant votre version originale.

Ce sera la même chose avec le service « Google agenda », qui vous permet de partager avec vos collègues et amis un agenda en ligne. Tout le monde sait ainsi ce que l’autre fait, et peut inviter ses connaissances directement par agenda virtuel interposé…


Vidéo et photos

D’autres web services sont totalement essentiels pour les amateurs de photos ou de vidéo. Déconcertant par leur facilité d’utilisation, ils vous simplifieront réellement la vie. Si vous allez sur « Youtube » (www.youtube.com), vous pourrez facilement télécharger une vidéo tournée avec votre camescope ou votre téléphone portable et la télécharger sur ce site. D’autres internautes pourront la visionner, et vous pourrez aussi la publier sur votre blog, en faisant un simple copier-coller.

Mieux, les photos. Parlons tout d’abord d’un web service comme « Picasa », le logiciel de gestion de photos de Google. Vous le téléchargez gratuitement et en quelques minutes sur Internet. Voici le lien : http://picasa.google.fr. Une fois installé sur votre ordinateur, il indexe toutes les photos qu’il trouve, et les classe. Vous pourrez grâce à ce petit bijou technologique envoyer des photos par email, les recadrer, les redimensionner, créer des CD cadeaux et des diaporamas, et les publier sur Internet. C’est un outil indispensable pour tout ordinateur contemporain !

Autres site communautaire, et web service : le site de publication de photos en ligne Flickr : www.flickr.com. Cet espace est le plus important en ce qui concerne les publications de photos d’amateurs. Si vous avez une belle vue de votre village, un portrait artistique, ou un exploit numérique : Flickr héberge votre œuvre. Vous pouvez rendre vos photos publiques, ou privés. Vous pouvez ajouter un « tag » (ou mot clé à votre photo). Les internautes tapant le tag dans le moteur de recherche tomberont sur votre publication. En tapant ainsi « La Réole » dans Flickr, je trouve de superbes vues du monastère des bénédictins (cf. notre illustration). Flickr, c’est aussi un lieu pour rencontrer les photographes qui s’intéressent à votre région…